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Offre d’emploi -- Analyste au Conseil de presse du Québec

Date limite: jeudi 5 octobre 2017

Le Conseil de presse du Québec (CPQ), le tribunal d’honneur des médias qui défend la liberté de presse et le droit du public à l’information, est à la recherche d’un analyste, un poste à temps plein.

Sous l’autorité de la secrétaire générale, l’analyste :

  • Traite les plaintes du public à l’égard des journalistes et des médias;
  • Analyse ces plaintes dans le cadre de la déontologie journalistique, telle que définie par le Guide de déontologie du CPQ;
  • Prépare la plainte pour le comité des plaintes, qui évaluera s’il y a eu faute déontologique;
  • Communique avec les parties prenantes pour comprendre leur position, puis la reflète de façon juste et impartiale au comité des plaintes;
  • Effectue de la recherche et de la cueillette d'informations qui serviront au comité des plaintes;
  • Fait ressortir la jurisprudence pertinente au traitement des plaintes;
  • Prépare et participe aux réunions du comité des plaintes;
  • Rédige le résumé de la décision;
  • Soutient la secrétaire générale dans l’exercice de ses fonctions.

Le Conseil de presse est à la recherche d’une personne qui:

  • possède une expérience d’au moins 5 ans dans le milieu des médias ou de la déontologie;
  • possède une formation universitaire dans un domaine relié;
  • manifeste une compréhension fine des pratiques journalistiques;
  • démontre une grande capacité d'analyse et de synthèse;
  • possède de grandes qualités de rédaction;
  • communique avec efficacité et éloquence;
  • possède une excellente maîtrise écrite et orale du français;
  • est bilingue;
  • est capable d’exécuter ses tâches avec rapidité et un sentiment d’urgence;
  • est minutieuse;
  • connaît et maîtrise les outils de bureautique et manifeste un intérêt pour les technologies web;
  • sait faire preuve de bon jugement et d’impartialité;
  • possède les normes les plus élevées en matière d’éthique professionnelle;
  • fait preuve d'initiative et d’autonomie.

CONDITIONS ET DATE DE TOMBÉE

  • Le Conseil offre un milieu de travail stimulant dans l’univers des médias en perpétuelle mouvance où les défis ne manquent pas.
  • Pour postuler, faites parvenir un curriculum vitae, accompagné d’une lettre de motivation d’un maximum de 400 mots faisant état de votre intérêt et des compétences que vous estimez avoir pour occuper ce poste.
  • Les candidatures doivent parvenir au plus tard le jeudi 5 octobre 2017.
  • La confidentialité et l’équité en matière d’emploi seront respectées et seuls les candidats retenus seront contactés.  
  • Le salaire et les avantages sociaux sont établis selon l’expérience.
  • L’utilisation du masculin dans ce texte vise uniquement à l’alléger et inclut autant les femmes que les hommes.

À PROPOS DU CONSEIL DE PRESSE

Le Conseil de presse du Québec est un organisme privé, à but non lucratif, qui œuvre depuis plus de quarante ans à la protection de la liberté de la presse et à la défense du droit du public à une information de qualité. Son action s’étend à tous les médias d’information distribués ou diffusés au Québec, qu’ils soient membres ou non du Conseil, qu’ils appartiennent à la presse écrite ou électronique.

Il a été créé en 1973, à l’initiative conjointe de journalistes et de dirigeants de médias d’information, auxquels ont été associés dès le départ des représentants du public. Le Conseil est donc né des besoins convergents et des inquiétudes communes de ces trois composantes. Il est tripartite, son conseil d’administration et tous ses comités étant composés de journalistes, de membres désignés par les entreprises de presse et de représentants du public.

Le Conseil de presse du Québec est un organisme à adhésion volontaire, indépendant des autorités gouvernementales, ce qui lui confère l’autonomie nécessaire à l’accomplissement de sa mission.

Le Conseil agit comme tribunal d’honneur de la presse québécoise. Il émet également des avis sur diverses questions ou pratiques en lien avec sa mission. En aucune façon, le Conseil ne peut être assimilé à un tribunal civil, il ne possède aucun pouvoir judiciaire, réglementaire, législatif ou coercitif ; il n’impose aucune autre sanction que morale. Son Guide de déontologie formule les normes déontologiques qui encadrent l’exercice du journalisme au Québec.

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